Oncle Robert, tante Jessie, les enfants de Louis-Amik, et toute la famille, Je suis profondément désolé de ne pas pouvoir être avec vous en personne aujourd’hui. La distance m’empêche d’être là physiquement, mais mes pensées sont entièrement avec vous.
J’ai été tellement désolé d’apprendre la nouvelle. Dans ma mémoire, je revois encore Louis-Amik quand il était tout petit. Le temps passe vite, mais certains souvenirs restent gravés et refont surface avec une force particulière dans des moments comme celui-ci.
Je me console en pensant à sa passion pour la musique. J’aime imaginer qu’il est maintenant dans un endroit où la musique l’entoure — où son esprit peut continuer de vibrer à ce qu’il aimait tant.
Sachez que je suis avec vous de tout cœur dans cette épreuve. Même de loin, je vous accompagne en pensée et en affection, et je partage sincèrement votre peine.
Avec toute mon affection,
Christian

Un arbre est planté
à la mémoire du défunt

